Nous n'étions pas là la nuit du 12 janvier.

De retour d'un déplacement professionnel à l'étranger et apprenant le drame, nous n'avons pas eu le courage de monter voir Cathy parce qu'on savait que tout ce que l'on pourrait lui dire ne ramènerait pas Maxime.
Pour le coup on a fait preuve d'une vraie lâcheté.
Toutes nos pensées vont vers Maxime, sa maman et son papa, ses frères et ses amis.